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12 mars 2012 1 12 /03 /mars /2012 09:03

Lettre_obstineEs_1.png

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9 mars 2012 5 09 /03 /mars /2012 16:15
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1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 13:03

c'est maintenant officiel : l'Université de Lorraine est dénuée de sens. Voir :

http://www.educpros.fr/uploads/media/Lettre_IDEX_Nicolas_SARKOZY-ULorraine_.pdf

Voici la phrase :

"La création effective de l’Université de Lorraine, la reconnaissance de l’IRT M2P au titre du Grand Emprunt, l’engagement et le soutien octroyé au titre du Plan Campus lorrain, l’ambition de notre projet ARTEM seraient dénués de sens en l’absence d’une reconnaissance au titre du programme Initiative d’Excellence"

Donc, des deux choses l'une :

- pas d'Idex pour nous, et l'Université de Lorraine était une erreur,

- notre ami à l'Elysée nous donne un Idex par miséricorde "en dépassant les critères académiques stricts" (en quoi il
a une expérience avérée), et on sera content.

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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 10:08

Un appel à signature issu, entre autre, de l'ex-coordination nationale des universités de 2008/2009. Au-delà de l'"Appel[...] aux candidats à l’élection présidentielle et aux citoyens", l'objectif était de permettre une expression des acteurs de l'enseignement supérieur et de la recherche sur la plus grande réussite de l'actuel gouvernement...

http://appel-enseignement-sup-et-recherche.fr/

 

Par ailleurs, dans les informations passées sur la liste de l'ex-coordination, des histoires de présidents d'université et de lru :

 

Le président de Bordeaux 3

http://www.sudouest.fr/2012/02/21/les-universites-ne-sont-pas-autonomes-638993-1391.php

 

Un appel à signer avec Anne Fraïsse, de Montpellier 3

http://sauvonslarecherche.fr/spip.php?article3636

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15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 14:52
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11 février 2012 6 11 /02 /février /2012 21:31

Grâce à la mobilisation des électeurs, des membres de la liste des obstinéEs ont été élus dans l'ensemble des conseils centraux. (Cliquez sur l'image pour agrandir et voir les membres élus)

 

423945_385079908185108_352940854732347_1532070_39680815_n.jpg

 

C'est un message fort que la communauté universitaire a envoyé à la future équipe dirigeante.

 

Par ailleurs, la liste Unis vers 2012 menée par P. Mutzenhardt a obtenu 8 sièges sur 12 (soit 67%) alors que, globalement sur le CA, elle n'obtient que 33% des voix (41% en A, 29% en B). Il s'agit donc là d'un des effets du mode de scrutin qui sureprésente la liste arrivée en tête.

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10 février 2012 5 10 /02 /février /2012 09:28

http://sauvonsluniversite.com/spip.php?article5335

Montpellier, le 7 février 2012


Monsieur le candidat à la Présidence,


Les premiers axes de votre programme en matière d’enseignement supérieur nous consternent et nous voulons vous faire part de notre surprise et de notre colère devant les orientations que l’on annonce.

Êtes-vous trompé à ce point sur les attentes de ceux qui vous soutiennent pour croire qu’ils souhaitent vous voir poursuivre la politique qui depuis 5 ans torpille notre enseignement supérieur. Le président sortant a supprimé la formation des maîtres, attaqué le CNRS, mis à mal le réseau universitaire pour lancer une compétition acharnée entre les établissements, créé des dissensions entre universités, organismes de recherche, écoles, IUT, IUFM, rompu tous les équilibres entre les régions, les sites de tailles différentes et les disciplines, privilégiant les uns au gré d’une politique contradictoire, brimant les autres au nom d’une idéologie ultra libérale.
Il vous laisse en guise de projets des dettes pour 25 ans avec les duperies que sont les « plans campus » dont les « Partenariats Public Privé » multiplient par 3 le coût des bâtiments et profitent uniquement aux grandes entreprises de construction et les « Investissements d’avenir ».
Or que nous apportent les premières esquisses de votre programme, quelques aménagements, de l’argent annoncé et au bout du compte la poursuite d’une même direction dont vous ne pouvez ignorer qu’elle mène à l’échec. Croyez-vous réellement que les universitaires pourront se réjouir de vous voir poursuivre une politique qu’ils ont subie de force depuis 5 ans ?
Peut-être faut-il vous interroger sur ceux qui vous conseillent en matière d’enseignement supérieur.
On peut s’étonner quand un candidat socialiste recrute ses conseillers parmi ceux qui ont aidé à mettre en place la LRU, ceux qui « dialoguent » aimablement avec Mme Pécresse sur l’avenir de la recherche en France et ont eu la naïveté de croire au marketing de « l’excellence » et de « l’autonomie ».


Depuis quand les « Think Tank », nouveau nom pour les lobbys divers et variés peuvent-ils affirmer tout en gardant l’anonymat, compter parmi eux des présidents d’universités, des universitaires et des chercheurs et faire des propositions au nom d’une gauche qu’ils ne représentent pas ?


Lorsque la gauche s’opposait aux mesures de M. Sarkozy, nous n’étions que 7 présidents dans l’amphi bondé de la Sorbonne et vos conseillers n’y étaient pas, ni eux, ni leurs anonymes soutiens.


Je ne crois pas que depuis la CPU ait basculé à gauche, ni même d’ailleurs qu’elle soutienne ceux qui vous parlent en son nom. Mais peut être la gauche, ou du moins ses dirigeants, a-t-elle changé d’opinion sur les mesures d’un gouvernement de droite et s’apprête-t-elle à les soutenir sans tenir compte des alertes des syndicats, des représentants des personnels, et de la masse de ceux qui font vivre l’enseignement supérieur et la recherche ?


Doit-on vous rappeler que le parti socialiste était contre la LRU, que le président Sarkozy et son équipe présentent comme leur plus belle réussite d’avoir fait passer les universités à l’autonomie, oubliant allégrement que certaines ont payé de 14 semaines de grève cette mesure, et que seuls la force bornée et le refus de toute négociation sont venus à bout de cette résistance.


Avez-vous réalisé ce que veulent dire réellement « Autonomie des universités » et « Investissements d’avenir » pour ne parler que de ces deux mesures ?

-  L’Autonomie des universités : une duperie dangereuse


« Comment voulez-vous que je préfère une université sous tutelle à une université autonome ? » déclarait Axel Kahn en mai 2009. C’est tout le danger de la « com » que d’enfermer les esprits savants dans une dialectique perverse. Mais comment peut-on croire que les universités sont autonomes quand elles doivent maintenant obtenir l’accord préalable de l’État pour voter leur budget alors que ce contrôle était exercé a posteriori lorsqu’elles n’étaient pas autonomes ? Comment croire un instant que les universités sont autonomes lorsque les crédits de fonctionnement sont supprimés au profit de financements « sur projets » qui font d’elles les prestataires de service d’une politique définie par d’autres ?


Même les plus favorables à l’autonomie dénoncent aujourd’hui l’investissement financier insuffisant qui oblige les universités à geler des postes, fermer des formations, réduire les heures de cours aux étudiants ou stopper leurs investissements. Une trentaine d’universités sont déjà en grande difficulté et leur nombre ne va pas cesser d’augmenter. Pour ceux qui à gauche ont dénoncé cette mesure nous savons qu’il s’agit d’une duperie totale. Les universités sont victimes, comme en leur temps les collectivités territoriales d’un transfert de charges sans transfert des moyens. La masse salariale est sous-estimée, les prestations sociales forfaitisées à un taux bien inférieur à leur coût réel et de nouvelles dépenses sont imposées : certification des comptes, paiement à la Trésorerie Générale des bulletins de salaires, etc.

-  Les investissements d’avenir : une politique absurde


Le 2nd tour des Idex enfin achevé, on voit apparaitre dans toute sa splendeur l’aberration du système mis en place et sa crétinerie absolue. Vouloir créer de toute pièce 8 sites d’excellence ne pouvait que mener à l’impasse où nous sommes.
À peine les résultats connus, le ministre explique déjà que bien sûr il va falloir faire quelque chose pour Lyon et peut être aussi pour Lille, tant leur absence apparait criante. Ensuite on aura Grenoble, Montpellier, l’Idex lorrain, les 17 projets de la 1ère vague, et comme cela avait été dit d’avance toutes les plus grandes villes de France. Point n’était besoin d’un jury international, d’ailleurs soigneusement noyauté par des proches du pouvoir, pour inventer cela.
Le système est gangrené dès l’origine : il crée des injustices et des déséquilibres et surtout il remplace des financements récurrents destinés à assurer les missions fondamentales des universités par des appels à projet épuisants et réducteurs.


Oui, Monsieur Hollande, vous avez raison d’affirmer que la jeunesse et l’éducation doivent être au cœur du projet pour la France et vous savez pouvoir compter sur l’enthousiasme des personnels d’éducation de l’école maternelle jusqu’à l’université dans ce projet. Mais c’est à une rupture radicale qu’il faut s’atteler, en cessant d’opposer enseignement et recherche pour replacer les étudiants au cœur du dispositif, en restituant aux personnels d’enseignement les moyens d’étudier et de travailler, en luttant contre la précarisation et la paupérisation des personnels IATSS, en redistribuant plus équitablement les crédits entre les différents établissements.


Oui, Monsieur Hollande, Axel Khan peut dire qu’il préfère une université autonome à une université sous-tutelle, pour ma part je préfère tout simplement un service public de l’enseignement supérieur et de la recherche et une université d’Etat au service de la France.


Je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de ma considération distinguée.

La Présidente,

Anne FRAÏSSE

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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 12:58

A Bordeaux, on prépare pour 2014 la NUB (Nouvelle Université de Bordeaux) qui va regrouper la plupart des universités locales. La question qui se pose est : Grand Etablissement ou pas ? En attendant, à Bordeaux 1, les élections aux conseils centraux ont lieu le mois prochain. Dans ce contexte l'administrateur provisoire JPF est venu à Bordeaux pour faire part de son expérience. Pas sûr qu'il ait convaincu tout le monde. Voici l'hebdo d'une liste qui va se présenter aux prochaines élections à Bordeaux 1 (cf. pages 2 et 3). C'est fort instructif !

 

*******

 

1/3
e-lire
Lettre d'information
en vue des élections des conseils de l'Université Bordeaux 1
n° 6 - 08/02/2012
Avec cette lettre, nous aimerions passer
en revue quelques raisons pour
intégrer un établissement unique et
pour éviter le statut de Grand
établissement.
**
Etablissement unique. Il faudrait que
lʼensemble des personnels et des
étudiants des établissements
universitaires dʼAquitaine puissent
sʼexprimer sur le regroupement des
établissements bordelais. En attendant
la mise en place de cette consultation,
retraçons quelques étapes de lʼévolution
récente du site.
Les différents établissements ont
procédé à une réorganisation des
structures internes : Bordeaux 2 a réuni
ses trois UFR médicales en une seule,
Bordeaux 3 a réduit le nombre de ses
UFR à trois, Bordeaux 1 a créé de (très)
grandes unités de recherche dans la
plupart des thématiques, etc.
ENSEIRB et ENSCPB ont renoncé à
leur indépendance pour fonder lʼInstitut
polytechnique de Bordeaux. Les
universités Bordeaux 1 et Bordeaux 2
ont de leur côté contribué à ce projet en
accompagnant la migration de leurs
écoles dʼingénieurs internes.
Tout cela a été fait bien avant les toute
récentes injonctions concomitantes aux
différents appels dʼoffres organisés par
notre Ministère de tutelle. Il reste
néanmoins quelques problèmes
importants de structuration, notamment
en biologie et en archéologie.
Par ailleurs, les établissements
universitaires bordelais coopéraient
entre eux et avec les collectivités
locales, notamment au sein du Pôle
universitaire et dans le cadre du Projet
Campus. Ils partageaient depuis
longtemps des services interuniversitaires
hébergés par un des
établissements, qui en assumait les
charges. Avec la création du PRES
Université de Bordeaux, on a pu
capitaliser sur ces expériences et on a
pu positionner certains services interuniversitaires
à un niveau plus central,
pour que leur action soit davantage au
service dʼune politique commune.
En résumé, en 2012 on peut
sereinement envisager la création à
Bordeaux dʼun établissement
universitaire unique, organisé
dʼaprès le modèle international en
trois niveaux, chacun bénéficiant dʼune
sphère de compétences propre et dont
les composantes regroupent plusieurs
disciplines qui partagent une culture et
des modes de travail. Comme on lʼa vu,
si on décidait de créer une composante
Sciences et technologies à côté des IUT
et des écoles dʼingénieurs, lʼUniversité
2/3
de Bordeaux pourrait compter une
douzaine de composantes, dans les
différents champs disciplinaires. Une
université au sens du Code de
lʼEducation permet ce type
dʼorganisation, comme lʼa confirmé le
Rapport 2011 du Comité de suivi de la
loi LRU. Le statut dʼuniversité permet les
délégations nécessaires au bon
fonctionnement dʼune grande université.
LʼUniversité de Bordeaux pourrait alors
légitimement porter les projets de ses
équipes à lʼinternational, assurer la
promotion de nos formations, sʼinscrire
dans des réseaux institutionnels de
coopération, assurer une veille au
niveau européen, améliorer les
conditions dʼaccueil et de vie des
étudiants et des personnels, etc.
**
Quel statut ? Quelles seraient les
alternatives au statut dʼuniversité ?
Lʼidée dʼuniversité fédérale nʼa pas de
réalité juridique, sauf à lʼinterpréter
comme un PRES renforcé. Or, si les
PRES peuvent jouer un rôle utile dans la
gestion dʼactivités de support ou de
soutien, les PRES ne devraient pas se
substituer à leurs membres dans leurs
missions fondamentales que sont la
formation et la recherche. On devrait
opter pour un PRES renforcé à
Bordeaux seulement si les
établissements nʼarrivaient pas à
sʼentendre sur la création dʼun
établissement unique. Mais ce ne serait
pas la solution optimale, ne serait-ce
que parce que les PRES ne fournissent
pas suffisamment de garanties
démocratiques.
Venons-en au statut de Grand
établissement. Il faut le penser comme
celui dʼ« universités dérogatoires » ;
mais Grand établissement est un statut
juridique, ce nʼest pas une catégorie
particulière dʼétablissement
dʼenseignement supérieur. Ce nʼest pas
non plus un établissement qui est
forcément grand, au contraire. Ce statut
peut avoir son utilité, mais choisir ce
statut pour lʼUniversité de Bordeaux
reviendrait à la singulariser au sein du
tissu universitaire français, ce qui
lʼaffaiblirait considérablement.
Considérons le récent décret de création
de lʼUniversité de Lorraine (UdL), qui
regroupe les trois universités de la
région et lʼINPL au sein dʼun GE. Même
sʼil reprend de nombreuses dispositions
de la loi sur les universités, ce décret
prévoit des ajustements dʼopportunité :
la proportion dʼenseignants-chercheurs
siégeant au Conseil dʼadministration
(CA) baisse au profit des membres
extérieurs ; ces derniers participent à
lʼélection du président ; le président est
élu pour cinq ans, au lieu de quatre ; le
CEVU est décomposé en deux conseils ;
de manière générale la représentation
du personnel et des étudiants est
dégradée ; etc.
La procédure qui a mené à la publication
du décret de création de lʼUdL est
encore plus critiquable. Les
organisations représentant les
personnels avaient établi une liste
strictement limitative des dérogations
acceptables au statut dʼuniversité. Ces
demandes sont restées lettre morte, ce
qui sʼest traduit par une opposition au
décret de création présenté devant le
CNESER le 30 mai 2011. Ceci nʼa pas
empêché le Gouvernement de signer le
décret après la pause estivale.
3/3
Lʼadministrateur provisoire de lʼUdL a
récemment expliqué à Bordeaux, que
les responsables (politiques) ont voulu
aller vite parce quʼils craignaient quʼavec
les élections prévues dans les
universités en 2012 (comme à
Bordeaux), le processus dʼintégration
aurait peut-être subi un arrêt. On vient
dʼapprendre que le premier budget du
nouvel établissement a été construit
sans que les IUT, composantes de lʼUdL
ne disposent de budgets propres
intégrés, ce qui nʼest pas conforme aux
directives ministérielles. En somme,
lʼUdL fournit un exemple à ne pas
suivre !
Avant de conclure, examinons quelques
arguments invoqués en faveur du statut
de GE et indiquons comment le statut
dʼuniversité permet dʼy répondre :
- le statut de GE offrirait la possibilité
dʼélargir le CA. Cela nʼa pas été le cas
avec lʼUdL, qui a un CA à 30 membres
(se souvenir que le Ministère doit valider
les statuts). En revanche, rappelons que
dans une UFR Sciences et technologies,
au sein dʼune université, on pourrait
mettre en place un Conseil à 40
membres et quʼil serait possible de créer
au niveau de lʼUniversité de Bordeaux,
avec un statut dʼuniversité, un Sénat
académique large, qui serait consulté
sur toutes les questions stratégiques.
- le statut de GE permettrait au CA de
déléguer quelques-unes de ses
prérogatives aux conseils des
composantes. Les règles de délégation
au sein des universités permettent de
répartir convenablement les
responsabilités et on peut arriver à
décharger le CA de la gestion courante
en évitant quʼil ait à revoir les
délibérations des autres conseils. Un CA
aura toujours la responsabilité du budget
et de la répartition des emplois,
forcément établis après un dialogue
avec les composantes et les autres
structures internes.
- le statut de GE serait nécessaire à
lʼintégration des écoles dʼingénieurs. Il
est bien connu que les universités
peuvent héberger des écoles
dʼingénieurs comme composantes et les
solutions avancées dans le cadre dʼun
GE peuvent être réalisées dans une
université.
**
Lʼarrêté électoral a été publié le 1er
février. Il prévoit que le scrutin pour
lʼélection des conseils centraux de UB1
ait lieu le mardi 13 mars 2012. Nous
vous invitons à consulter cet arrêté ainsi
que dʼautres informations concernant
cette importante échéance sur le site de
lʼUniversité. En particulier, nous attirons
votre attention sur le fait que sont
électeurs tous les enseignants et
chercheurs qui exercent une activité
dʼenseignement ou de recherche au sein
dʼune structure de lʼUniversité Bordeaux

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8 février 2012 3 08 /02 /février /2012 16:34

Lu sur educpros

 

http://www.educpros.fr/detail-article/h/9275c0e51d/a/idex-blues-les-universites-perdantes-n-abandonnent-pas-leurs-projets.html

 

"En Lorraine, la réorganisation des masters aura lieu, tout comme le renforcement des partenariats à l’international, inscrits dans le projet. "Nous irons simplement moins vite et moins loin", résume le délégué général du PRES lorrain, Hervé Coilland. Seule la FCS (Fondation de coopération scientifique) prévue pour l’IDEX devrait tomber aux oubliettes."

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8 février 2012 3 08 /02 /février /2012 07:18

Elections aux conseils centraux de l'UL: VOTEZ pour les ObstinéEs

Le collectif des ObstinéEs (Listes "Pour une université démocratique,
plurielle et égalitaire") rassemble des personnels de toutes les
catégories: Biatoss, chercheurs, enseignants, enseignants-chercheurs.
Soutenu par une intersyndicale (Ferc-Sup CGT, SNASUB-FSU, SNEP-FSU,
SNESup-FSU, SUD-Education), il propose une tout autre vision du
fonctionnement de notre université que celle portée par les autres
listes en lice.

Dans le respect de nos missions premières de formation et de recherche,
nos candidates et candidats aux conseils centraux s'engagent à:

- combattre la précarité et les méthodes managériales de gestion des
personnels;

- systématiquement refuser que la réduction prévisible des ressources
financières impose un choix entre "emploi" et "offre de formation";

- obtenir des engagements fermes pour bloquer toute suppression de sites;

- obtenir que les instances décisionnaires de l'université rendent
systématiquement leurs choix motivés et publics;

- alerter et informer tous les personnels en cas de dérives
autocratiques et gestionnaires;

- proposer un mode de gestion recentré au plus près des préoccupations
de celles et ceux qui œuvrent sur le terrain au quotidien et basé sur
une éthique de collégialité des décisions;

- rendre compte de leur mandat, votes et prises de positions.

Nous vous appelons à soutenir nos listes aux élections du 9 février
prochain.

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